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 Découvrez comment est née la frite authentique française Frites Korner à Golfe-Juan Vallauris.

Frites Korner c’est avant tout une histoire familiale et un savoir-faire transmis de génération en génération. Un long chemin qui a amené la fameuse frite authentique française jusque dans les Alpes-Maritimes !

La genèse de nos frites françaises à la fin du 19e siècle

D’après des témoignages, des réunions, des archives et des héritages, nous pouvons vous assurer que l’histoire familiale autour des frites françaises débute à la fin du XIXe. Pascale Gourdou, la trisaïeule établie dans le sud-ouest, découvre les pommes de terre frites lors d’un voyage à Paris en 1895. Voici un extrait de son journal intime :

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J’ai rencontré une femme avec une marmite roulante, vendeuse de pommes frites dans une rue de Paris. J’ai été extrêmement intéressée et éblouie par ce qu’elle faisait, sa technique, son savoir-faire, sa rapidité. Après une très longue discussion ensemble, elle m’a laissée essayer. Quel bonheur ! Et ce goût ! Je vais me mettre à faire ça à mon retour à la maison, ils vont tous être épatés !

Un an plus tard, elle apporte sa touche personnelle à ces frites bien françaises qu’elle a découvertes à Paris un an plus tôt : cette touche est depuis un secret familial. De là naquit la tradition de famille avec la fabrication de cornets en feuilles roulées et la préparation de frites lors des réunions de famille. Son secret est toujours intact et bien conservé par les membres de la famille !

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Leontine

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Odette (au milieu)

La frite royale et le korner

La fille de Pascale, Léontine Mazens, perpétua ce secret en préparant les frites de sa mère pour la famille, les voisins et même pour tout le village ! En accompagnement de ces frites, on retrouvait souvent de la ratatouille ou de la chichoumeille. On surnommait ses frites les frites royales : rien d’étonnant lorsqu’on sait qu’on l’appelait La Reine de la frite ! De plus, elle utilisait les pommes de terre et les produits de son mari, Symphorin, qui était cultivateur !

L’autre fille de Pascale, Odette a également perpétué la tradition. Désirant faire goûter la frite familiale, elle intègre un restaurant universitaire. Ainsi, elle put proposer ses frites une fois par semaine à des étudiants qui aimaient l’appeler « Mamie les bonnes frites » ! Lorsqu’elle faisait des frites pour la famille, elle disait avec un accent prononcé « on va faire des cornets ».  À l’oreille cela faisait penser à KorneR, d’où notre nom actuel !

La frite royale et le korner

La fille de Pascale, Léontine Mazens, perpétua ce secret en préparant les frites de sa mère pour la famille, les voisins et même pour tout le village ! En accompagnement de ces frites, on retrouvait souvent de la ratatouille ou de la chichoumeille. On surnommait ses frites les frites royales : rien d’étonnant lorsqu’on sait qu’on l’appelait La Reine de la frite ! De plus, elle utilisait les pommes de terre et les produits de son mari, Symphorin, qui était cultivateur !

L’autre fille de Pascale, Odette a également perpétué la tradition. Désirant faire goûter la frite familiale, elle intègre un restaurant universitaire. Ainsi, elle put proposer ses frites une fois par semaine à des étudiants qui aimaient l’appeler « Mamie les bonnes frites » ! Lorsqu’elle faisait des frites pour la famille, elle disait avec un accent prononcé « on va faire des cornets ».  À l’oreille cela faisait penser à KorneR, d’où notre nom actuel !

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Leontine

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Odette (au milieu)

« Chez la panthère »

La fille d’Odette, Christiane, crée avec son mari Philippe à la fin des années 1970 un restaurant routier à Golfe-Juan, nommé Le RestoSelf. On pouvait notamment y savourer les délicieuses frites françaises familiales de Pascale. Chaque été, Odette venait apporter son aide et son savoir-faire et voir ses petits-enfants grandir et qui l’appelaient, comme les étudiants, Mamie les bonnes frites !

Christiane hérita du surnom de « La Panthère », choisi par ses clients ! Ce surnom symbolise en effet le restaurant qu’elle tenait avec poigne et rigueur ainsi que son côté félin qui surgissait notamment lorsqu’on critiquait la recette de ses frites françaises. Les clients disaient alors qu’ils allaient manger « Chez la panthère » !

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« Chez la panthère »

La fille d’Odette, Christiane, crée avec son mari Philippe à la fin des années 1970 un restaurant routier à Golfe-Juan, nommé Le RestoSelf. On pouvait notamment y savourer les délicieuses frites françaises familiales de Pascale. Chaque été, Odette venait apporter son aide et son savoir-faire et voir ses petits-enfants grandir et qui l’appelaient, comme les étudiants, Mamie les bonnes frites !

Christiane hérita du surnom de « La Panthère », choisi par ses clients ! Ce surnom symbolise en effet le restaurant qu’elle tenait avec poigne et rigueur ainsi que son côté félin qui surgissait notamment lorsqu’on critiquait la recette de ses frites françaises. Les clients disaient alors qu’ils allaient manger « Chez la panthère » !

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La volonté de rendre hommage à une tradition familiale

Le mari de Christiane fut atteint d’une grande maladie et le couple décida de mettre l’établissement en gérance. Entre temps, le mari de Christiane décède dans les années 90. Après le départ de ces gérants, l’établissement resta fermé. Alain Theillet, fils de Christiane, a grandi dans celui-ci et était convaincu que l’histoire de ces frites n’était pas terminée. Pour faire perdurer la frite familiale, il décide en 2018 de se lancer dans les travaux du local pour le faire renaître. C’est donc avec l’aide de sa famille que le nom Frites Korner naît en 2019.

Comme un symbole, le restaurant ouvre quelques mois avant qu’Odette ne décède paisiblement à l’âge de 96 ans. Avec la certitude que la frite de la famille continuera à être fabriquée dans des « korners », comme elle le disait si bien. C’est pour nous le plus beau des hommages que d’honorer de cette façon sa mémoire et celle de nos aïeux…

La volonté de rendre hommage à une tradition familiale

Le mari de Christiane fut atteint d’une grande maladie et le couple décida de mettre l’établissement en gérance. Entre temps, le mari de Christiane décède dans les années 90. Après le départ de ces gérants, l’établissement resta fermé. Alain Theillet, fils de Christiane, a grandi dans celui-ci et était convaincu que l’histoire de ces frites n’était pas terminée. Pour faire perdurer la frite familiale, il décide en 2018 de se lancer dans les travaux du local pour le faire renaître. C’est donc avec l’aide de sa famille que le nom Frites Korner naît en 2019.

Comme un symbole, le restaurant ouvre quelques mois avant qu’Odette ne décède paisiblement à l’âge de 96 ans. Avec la certitude que la frite de la famille continuera à être fabriquée dans des « korners », comme elle le disait si bien. C’est pour nous le plus beau des hommages que d’honorer de cette façon sa mémoire et celle de nos aïeux…